Marches – Saison 2019-2020
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Nous étions 15 au départ de cette première sortie de la saison qui commence…
Début de la marche dès 9H-10, pour profiter de la fraicheur du matin. La montée, dans le « Ravin de la Bruyère », vers St Bénézet était de plus relativement bien ombragée, et beaucoup de marcheurs et marcheuses avaient mis un blouson. Après avoir quitté les blousons dans la côte nous redescendions vers l’ancien Mas de l’Eglise, traversions la voie ferrée après avoir laissé passer le TER qui filait à toute vitesse vers Alès. Retour à Lavol par la route, au soleil mais avec un petit vent pour nous rafraîchir, en longeant les vignes vendangées (grappillage autorisé !!). Arrivée au point de départ après 2H20 de marche : très bien !, après 2 mois de vacances.
Nous étions 21 au départ (et à l’arrivée …!!) pour cette 2ème sortie de la saison qui commence.
Temps et parcours agréables, certes un peu pentu, mais on finissait par une descente en pente douce. Nous sommes allés jusqu’au château (en partie ruiné !) de Sauvages, puis retour sur La Blaquière après 3H20 de marche : certains on probablement trouvé les 2 derniers kilomètres un peu rudes, mais tout le monde est arrivé à « bon port ». A la semaine prochaine, si le temps le permet.
Nous étions 15 pour cette marche, plutôt dans le style « rando », avec une bonne descente dans un pierrier de petits cailloux calcaires et quelque rochers un peu plus « maous » qui nécessitaient pas mal de prudence. Tout cela pour arriver aux « Petites Aiguières » : gros blocs de calcaire compact ou l’eau et les cailloux ont creusé d’impressionnantes « marmites de géants ». Certes il n’y avait pas d’eau qui s’écoulait, juste un peu au fond des marmites, mais le spectacle valait la descente. Nous profitâmes ensuite que le Séguissous était à sec pour rejoindre le chemin qui nous conduisait aux « Grandes Aiguières » : une trouée dans le rocher calcaire sur près de 60 m de hauteur avec, là aussi, de nombreuses « marmites de géants ». Puis retour par le hameau de Suzon (commune du Bouquet), très bien restauré avec de belles et parfois grandes bâtisses en pierres. Au total il y avait moins de 7 km pour 3H, mais la progression fut parfois délicate et prudente, et il fallait aussi prendre le temps de profiter des paysages découverts. Temps par moment nuageux et par moment ensoleillé, somme toute une bonne balade.
Nous étions 24 au départ de cette rando qui nous a occupés une bonne partie de la journée. Temps radieux, on n’aurait pas pu espérer mieux !!
Une marche entre ombre et soleil (pas trop violent) pour aller jusqu’à la bergerie de Villeneuve. Au retour nous sommes passés par le chemin du haut (par les « Masses »).
Marche de 9,3 Km, un peu moins de 200m de dénivelé cumulé, le tout en à peine 3H. L’ensemble des participants se déclaraient satisfaits.
De retour sur le parking du château sur le coups de midi, c’était la bonne heure pour nous mettre à table et dévorer le pique nique récupéré dans le coffre des voitures.
Visite du château :
Après le pique nique, sur le coups de 13H30, nous avons pu participer à la visite guidée du château, en cours de restauration (restauration par ailleurs bien avancée) avec moult explications passionnantes sur son histoire, ainsi que sur sa restauration.
Fin de la visite vers 15H30 et retour à Alès, au point de regroupement.
A la semaine prochaine.
Une fois n’est pas coutume !! Nous étions 18 au départ et 17 à l’arrivée de cette marche à Lasalle. Pour cause : notre « suprême guide » (pas notre « guide suprême » !!) a été victime d’une « sciatique tronquée » (diagnostic de la pharmacienne de Lasalle) et a du se laisser redescendre en voiture par un automobiliste bienveillant rencontré sur une petite route. Il (le guide) avait passé les consignes et le GPS pour que le groupe poursuive la marche en son absence, mais nous avons un peu raccourci le parcours et étions rentrés à 11H25, en même temps ou presque que notre guide qui sortait de la pharmacie. Cette marche méritera d’être refaite, peu être en automne lorsque nous pourrons de plus profiter des feuilles rousses sur les arbres.
Nous étions 16 pour cette marche de reprise après 3 semaines d’interruption. Donc une marche sans trop de difficultés côté pentes : reprise en douceur. Départ dans le brouillard et arrivée 2h20 plus tard au soleil. Soit une moyenne de 3,5 Km/H. Rendez-vous est pris pour la semaine prochaine.
25 marcheurs au départ; il va bientôt falloir trouver des parkings de départ plus importants !! Temps ensoleillé, un peu frais (mais c’est la saison !). Le hameau de Célas est probablement aussi important que le siège de la commune à Mons. Il est situé au nord de la commune, limitrophe avec la commune de Servas où se situe le « Puits de Célas », point de découverte sur notre parcours. Puis nous reprîmes la direction de la route Alès-Bagnols que nous traversâmes avec prudence. Retour par le « Serre de Bouquet » et café/goûter en arrivant au parking (ça fait partie des traditions pour les marches de l’après-midi !). A la semaine prochaine.
Nous étions 20 en cette belle après-midi du 19 novembre et nous avons pu profiter des couleurs flamboyantes de l’automne.
Certes c’était pratiquement la même marche que celle du 8 octobre, mais un peu rallongée :
Nous avons pu monter jusqu’au sommet du Clarou (476m) pour y découvrir un puits, à côté des ruines d’un imposant ancien mas cévenol.
Puis descente jusqu’au château de Solier construit entre 1885 et 1890, comme en témoigne l’inscription sur le linteau de la porte de la tour. Cette imposante bâtisse, en parfait état, domine le village de Lasalle.
Retour au village et vue sur les anciennes filatures, dont celle du « pont de fer » parfaitement restaurée. Traversée de la Salindrenque sur le « pont de fer » et retour au point de départ après une retraversée par le « pont vieux ».
Partis à 2H -5mn, nous étions de retour à peine plus de 5H (5H03), après un peu plus de 8Km et plus de 300m de dénivelé cumulé.
Enfin, pour conclure, un café et quelques biscuits de réconfort avant de se séparer : à la semaine prochaine.
22 au départ de la marche de ce mardi après midi bien ensoleillé, mais peu après le départ passage d’un ruisseau (Les Seynes) « à gué », malheureusement un peu trop alimenté par les récentes pluies assez importantes (la météo nous parle d’ « épisode méditerranéen », malheureusement plus dramatique pour nos voisins du Var) ==> pas de problème, un petit détour par la route pour aller jusqu’au « Mas de l’Eglise » pour voir ladite église (12ème siècle) en cours de rénovation, puis franchir Les Seynes, cette fois-ci sur un pont, puis monter à l’assaut de la colline « Les Tanques et Serre du Corbeau » où nous pensions découvrir les ruines du « Castelas » … Hélas, à l’entrée du sentier qui y conduit, nous sommes stoppés par un arrêté municipal en interdisant l’accès pour « danger – risques d’éboulements ». Bien ! demi-tour (le 2ème), et nous poursuivons notre boucle.
Nous avons néanmoins la chance de découvrir quelques panneaux explicatifs, un point de vue aménagé et quelques créations artistiques.
Redescente de la colline en empruntant une DFCI récemment refaite (un vrai boulevard), franchissement des Seynes, toujours « à gué », mais heureusement doté d’un passage piéton surélevé. Retour au parking et goûter traditionnel avant de se séparer.
Nous étions 20 pour cette marche à St Hippolyte du Fort, au cœur des Cévennes, avec pour but la montée jusqu’aux ruines du château de Rochefourcade, accrochées à l’éperon rocheux qui domine les deux vallées, l’une plein sud en direction de Sauve-Quissac-Nîmes et l’autre plein ouest en direction de Ganges. Un soleil magnifique a contribué à notre plaisir d’exercice dans des paysages agréables. Après un peu plus de deux heures et demie, de retour à St Hippo, nous nous sommes dirigés vers le musée de la soie pour profiter de la visite guidée préparée par notre guide, en relation avec l’équipe du musée.
Tout notre groupe a ensuite visité le musée de la soie.
Dès 16H30 nous suivions notre guide qui nous expliquait la découverte de la soie, suivant une légende chinoise : il y a 4 ou 5 mille ans, une princesse chinoise qui dégustait son thé à l’ombre d’un murier vit un cocon tomber dans le liquide chaud, récupéra celui-ci afin de ne pas jeter sa précieuse boisson et pu dérouler le fil de soie…
S’ensuivit un secret bien gardé par les chinois, pendant plus de 2 mille ans, jusqu’à ce que l’empereur Justinien, vers l’an 500, envoya deux moines en chine afin de récupérer le secret de la fabrication du précieux tissu dont la chine assurait le commerce.
Nous avons ensuite bénéficié de toutes les explications sur la sériciculture et sa diffusion dans le sud de la France, là où poussent les muriers. Egalement de très nombreuses explications sur la filature de la soie, du « décoconnage » jusqu’au tissage. Notre guide était intarissable et incollable. Après plus d’une heure d’explications, nous avons pu visionner un film qui a particulièrement bien décrit la relance de l’activité au vingtième siècle.
A 18H30 nous quittions St Hippo, la tête pleine de nouvelles connaissances.
A la sortie de Brissac (hameau de Rousson), au début de la piste qui monte au lac de Ségoussac, 20 marcheurs du club Cœur et Santé partaient sous le soleil pour aller faire le tour du lac, bientôt rejoints par deux autres membres du club qui étaient partis, eux, des Mages (commune limitrophe).
Le lac de Ségoussac , dit « lac des « boues rouges », est un lac artificiel, construit pour recevoir les boues (oxyde de fer, soude caustique, et autres déchets provenant du traitement chimique de la bauxite), de l’usine Pechiney, implantée à Salindres, qui exploitait la bauxite pour produire la poudre d’alumine, base de la production d’aluminium. L’usine qui a démarré la production dans les années 1860 utilisait la bauxite en provenance de la Provence et de l’Hérault. Les boues étaient initialement stockées sur le site de l’usine; ce n’est qu’en 1964 qu’a été construit le lac artificiel pour augmenter les capacités de production. A partir de 1991, un arrêté préfectoral initialisait le processus de réhabilitation du lac.
En faisant le tour du lac sur les hauteurs des collines avoisinantes, nous avons pu obtenir plusieurs points de vue sur le lac. Nous avons même pu descendre jusqu’au bord de l’eau qui est parfaitement limpide en surface.
Pour la reprise, après les fêtes de fin d’année, un peu d’exercice s’imposait !!
Échange des vœux traditionnels, et nous étions 26 à partir en direction du mont Bouquet (l’objectif n’était pas d’aller jusqu’au sommet : ce sera pour une prochaine fois, avec pique nique pour couper l’effort). Le temps était particulièrement agréable.
Nous avions même failli être 27, mais une erreur de pointage sur le parking de regroupement m’a fait manquer une participante qui s’est signalée par téléphone alors que nous étions déjà à pied d’œuvre, sur le départ … Milles excuses auprès d’elle, mais cela nous servira de leçon : changement de la méthode de pointage des participants inscrits, et ce, dès la prochaine sortie.
Marche agréable sur des chemins et des pentes tout à fait « correctes » … jusqu’à ce que le guide, plongé dans des conversations avec les marcheurs, perde de vue sa trace sur le GPS !! … Bon, demi-tour et recherche d’un itinéraire de rattrapage, ce qui fut fait sur des pistes et sentiers préalablement localisés sur le GPS (la cartographie intégrée sur le GPS, ça aide). Vous pouvez localiser notre détour sur le tracé en tête du compte-rendu : tracé rouge, prévu, tracé bleu, réalisé. Nous nous sommes rallongés pratiquement d’un kilomètre. Rien de bien grave; à l’avenir je surveillerai un peu plus l’itinéraire prévu.
Sur la fin du parcours, un petit détour pour tenter de voir les vestiges de l’oppidum des Angostrines, mentionné sur la carte. Légère déception car nous n’avons découvert que des amoncellements de pierres, ce site étant à l’état brut, et pas encore restauré (avis aux amateurs !).
De retour à Brouzet nous avons fêté les Rois (l’Épiphanie, c’était hier !!).
A la semaine prochaine en espérant un temps aussi clément.
Après 2 mardis sans marche pour cause de pluie, nous avons enfin pu reprendre notre activité : Direction Gajan, un peu de stress en chemin : la pluie ne semblait pas vouloir nous quitter !!
Malgrès quelques gouttes au départ (voir les photos avec quelques parapluies), nous prenions la direction de Parignargues, confiants dans les prévisions de Météo-France qui annonçait du beau temps !!
Effectivement, le soleil a finit par sortir le « bout de son nez » et nous avons terminé en ayant presque trop chaud. En chemin, 2 moulins à vent, l’un bien délabré et l’autre bien restauré. Le village de Parignargues, son église (crêche animée, visible pendant les fêtes de fin d’année, mais trop tard pour nous), son lavoir …
Puis retour à Gajan en allant rejoindre la voie ferrée, le village, son église et son château, et le parking : , café, thé et biscuits traditionnels avant de rentrer au « bercail ». A la semaine prochaine !!
Ce mardi 4 février, avec du beau temps, malgrès un peu de vent, nous étions 20 à partir sur la « voie verte » entre Quissac et Sauve. La voie verte : une voie réaménagée sur l’ancienne voie ferrée et réservée aux déplacements « doux ». Parcours pratiquement plat, goudron nickel et, en plus, pratiquement personne aujourd’hui. Après 1,4 Km nous arrivons à l’ancienne gare et rentrons dans Sauve, traversons le Vidourle sur le « pont vieux » et commençons à grimper vers la « Mer des Rochers ».
Une ascension certes un peu « musclée », mais relativement courte; en fait ce n’était pas grand chose par rapport à la traversée de la « Mer des Rochers » où la progression n’était pas toujours très aisée, avec en plus des difficultés pour rester sur la bonne « trace ». Cette traversée laborieuse explique à elle seule notre vitesse moyenne pas très élevée !!
Nous en sommes néanmoins venu à bout et pûmes redescendre au village pour voir la résurgence du Vidourle.
Le retour ce fit en longeant le Vidourle, jusqu’au Moulin d’Actruc.
Après avoir traversé la route Nîmes-Quissac-Sauve-St hippolyte du Fort, il nous restait un peu moins d’un kilomètre sur la voie verte pour rejoindre les voitures et le gouter habituel .
20 inscrits pour cette marche, mais, après un désistement de dernière minute, nous étions 19 au départ, parking du cimetière de Mons. Descente en direction de Célas pour emprunter le tunnel de l’ancienne voie ferrée. Cette voie ferrée reliait Uzès à Célas où une bifurcation permettait d’aller vers Alès ou vers Salindres. Un projet de voie verte entre Uzès et Alès est en cours d’étude et empruntera ce tunnel. Après avoir franchi le tunnel (j’avais recommandé de se munir d’une lampe électrique pour éviter les flaques d’eau car, même si l’on aperçoit la sortie dès l’entrée, un tunnel de 400m, c’est un peu obscur !!), poursuite sur l’ancienne VF avant de reprendre les larges chemins en direction de Monteils et de la « vieille cité » (oppidum qui avait fait l’objet d’une marche la saison dernière). A noter que cette « Vieille Cité » se situe sur la commune de Mons, à la lisière de celle de Monteils. Nous ne sommes pas allés jusqu’à l’oppidum, mais sommes simplement remonté jusqu’au village de Mons, très bien restauré, puis avons rejoint le point de départ pour apprécier la pause café avant de rentrer. A la semaine prochaine à Portes, pour un regard sur l’ancien pays minier.
Ce mardi nous étions 17 pour cette marche, par un temps clément et ensoleillé, après la grisaille et la pluie … qui avait bien remplit les flaques d’eau que nous avons dû contourner avec précaution !! Temps bien dégagé pour admirer le paysage et prendre connaissances de toutes les infrastructures qui avaient été mises en place pour acheminer le charbon et le redescendre jusqu’à la voie ferrée.
Nous avions quelques craintes sur le temps prévu, MétéoFrance avait annoncé de gros nuages, mais, finalement, le ciel à peine chargé a rapidement laissé revenir le soleil, ce qui a permis aux 18 marcheurs de cette sortie de profiter des paysages, en allant jusqu’aux ruines du fort de … Pouillan, que nous croyons être le fort de Rohan !!!
Puis nous avons prolongé jusqu’à la grotte, en fait, une large trouée dans les falaises qui plongent vers le Gardon d’Anduze.
Ensuite retour dans les bois vers le hameau de Boisset, puis sur la petite route jusqu’à la Mairie, parking et point de départ.