Actualité en région
Semaine du Coeur : L’arrêt cardiaque n’est pas une fatalité
La Semaine du Coeur est l’un des moments forts de l’année pour la Fédération Française de Cardiologie (FFC). Partout en France nos Associations Régionales et Clubs Coeur et Santé se mobilisent pour vous informer, organiser des sessions de dépistages, des journées portes ouvertes ou des conférences.
Investissement de la FFC dans la Recherche : Retour d’expériences
A l’occasion de la Semaine du Coeur, la FFC vous invite à découvrir les progrès de la recherche en cardiologie grâce à des rencontres avec les chercheurs prévues dans 10 grandes villes (Blois, Bordeaux, Dijon, Lyon, Montpellier, Nancy, Nantes, Paris, Rennes et Toulouse).
Pour le Languedoc Roussillon, la FFC a le plaisir de vous inviter à assister à Montpellier à une rencontre avec des jeunes chercheurs où les thèmes suivants seront abordés avant une session de questions-réponses :
- Etude par échographie intra-vasculaire de l’oreillette. Dr Abdelkader Zedira (CHU Nîmes)
- Etude de l’hypertrophie cardiaque chez la souris Dr Christophe Hédon (CHU Montpellier) Comment lutter contre l’arrêt cardiaque ?
Comment lutter contre l’arrêt cardiaque ?
Ces interventions seront suivies de la présentation d’un sujet d’actualité par le Pr Gérard HELFT (Cardiologue, CHU Pitié-Salpêtrière Paris) : L’arrêt cardiaque n’est pas une fatalité.
Le taux de survie à un arrêt cardiaque en France est de 5 % si aucun geste n’est pratiqué.
Il monte à 15 % de survie à J + 30 si le massage cardiaque est pratiqué et le défibrillateur utilisé (Données tirées du registre de l’arrêt cardiaque en France réalisé par le Samu lors de ses interventions)
En France, chaque année, 40 000 personnes meurent prématurément d’arrêt cardiaque.
Sans prise en charge immédiate, près de 95 % des arrêts cardiaques sont fatals.
7 fois sur 10, ils surviennent devant témoin, mais moins de 40 % de ces témoins font les gestes de premiers secours. Or, 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
2 Français sur 3 souhaiteraient se former aux gestes qui sauvent.