Marches – Saison 2021-2022
(Archives)
Mardi 21 septembre c’était la reprise de l’activité « Marche-Rando » pour cette saison qui débute.
Nous étions 12 au départ à St Raby, à la sortie d’Alès sur la route de St Jean du Pin. Beau temps, avec un peu de vent : mieux que la semaine dernière quand la météo nous avait empêché cette reprise. Nous sommes montés jusqu’au château de Sauvages où, visiblement, un début de restauration semble avoir commencé. Ensuite direction « Trépeloup » sous les chênes verts, avant de nous diriger vers l’Ermitage où, avec un ciel bien dégagé, on a une belle vue sur toute la ville d’Alès et les environs. Nous sommes ensuite redescendus sur St Raby et nous étions rendus à 11H30, comme prévu.
Tout c’est bien déroulé pour cette marche de reprise.
Mardi 28 septembre la marche se déroulait à Boucoiran, au départ du hameau « Lavol-Haut ».
Nous étions 16 au départ, dès 8H45. On s’engage vers Boucoiran et, pour traverser la voie ferrée, on emprunte un petit tunnel en baissant la tête (surtout les plus grands !). A travers vignes et jardins potagers, avant d’arriver au moulin sur le canal latéral du gardon, puis la traversée du village avec sa tour où était fondu le plomb de chasse. Retour à Laval Haut par les collines puis à nouveau la plaine viticole. On retraverse la voie ferrée par le passage à niveau en prenant bien garde aux trains. Nous étions de retour à 11H00.
Tout c’est bien déroulé avec un temps radieux.
Mardi 12 octobre la marche se déroulait à Rousson. Il s’agissait de la marche prévue le 5, annulée pour cause de terrain impraticable suite à « l’épisode cévenol » survenu le week-end précédent.
Nous étions 16 au départ, à 9H00, pour monter au « plateau de Rousson » où l’on a une vue bien dégagée sur Salindre et Les Fumades. Ensuite nous avons pris la direction du lac de Segoussac avant de redescendre sur Rousson où nous étions de retour à midi moins 10, le tout sous un ciel bien ensoleillé.
Mardi 19 octobre la marche se déroulait à Anduze, l’après-midi, départ des bords du Gardon.
Nous étions 19 au départ, à 2H moins 5. Après un rapide échauffement sur terrain plat on attaque la côte sur 80m avant de pouvoir cheminer sur des « lignes de niveau » (approximativement à plat, sans dénivelé important) pour contourner la colline de la Rouvière avec vue sur Boisset et Gaujac, puis de tourner plein sud pour nous diriger vers les ruines du château de Pouillan, avec vue sur le château de Tornac, de l’autre côté du gardon. Enfin, retour sur Anduze que l’on rejoint avec une bonne descente. Nous étions rendus à 5H moins le quart.
Tout c’est bien déroulé pour cette première marche de l’après-midi, certe sous un ciel bien gris, mais sans une goutte de pluie.
Mardi 26 octobre la marche se déroulait aux Mages.
Nous étions 15 au départ, dès 2H moins le quart. Beau temps tout du long, soleil et à peine un peu de vent, juste de quoi « refroidir la mécanique ». On commence par monter dans la partie Nord-Ouest du village, puis on emprunte un petit tunnel pour passer sous la route de St Ambroix et partir à travers bois vers « Les Pastrous ». Puis on revient vers le village et, cette fois, on traverse prudemment la route car ça circule pas mal !
On redescend et on suit le balisage jaune, traversée du ruisseau « Valat de Couze », avant de remonter par un chemin bien caladé qui longe des plantations d’oliviers en espalier. A l’intersection on se rend jusqu’à « La Tourette » qui est le symbole de la commune. Après cet aller-retour on poursuit notre boucle autour du village. En arrivant on traverse une voie ferrée desafectée : il s’agit de l’ancienne ligne Beaucaire-Remoulins-Uzès-Les Fumades-Le Martinet.
Satisfaction des participants pour cette marche qui s’est achevée un peu après 4H et demi.
Mardi 2 novembre la marche se déroulait à St Hippolyte de Caton.
Nous étions 13 au départ, dès 13H45. Soleil et nuages (un peu menaçants, mais la météo était optimiste !!). Certes il y avait eu de fortes pluies durant le week-end mais le beau-temps était de retour depuis la veille et je pensais que le niveau des ruisseaux aurait baissé; mais non, pas suffisamment ! et un pont submersible en béton, sans buses d’écoulement, présentait un barrage sur lequel courait 15 cm d’eau sur 6 ou 7 m de large. Nous avons donc changé d’itinéraire et trouvé un pont routier pour traverser, puis, à l’aide de cartes IGN, nous avons pu rejoindre le tracé initial. Au total, 1 km de plus que le parcours initialement prévu (tracé rouge sur la carte ci-dessus, le réalisé est en vert). Nous étions rendus à 17H10, et les premières gouttes de pluie commençaient à tomber.
Finalement, nous nous en sommes pas trop mal sortis, avec certes un peu de boue aux chaussures.
Mardi 9 novembre la marche se déroulait à Logrian.
Nous étions 13 au départ, un peu avant 2H. Le soleil était au rendez-vous. Une marche assez « relax », faible dénivelé dans « La Plaine » qui porte bien son nom. Parfois quelques petits soucis pour traverser des ruisseaux en marchand sur des pierres posées à cet effet, mais rien de bien méchant. Beaucoup de vignes, des champs de céréales, puis on traverse l’ancienne voie ferrée qui reliait Lézan à Quissac; c’est l’occasion de prendre conscience de l’important maillage ferroviaire qui avait été construit et qui a été abandonné, faute à la diminution de son utilisation.
Probablement, toutes ces infrastructure devenues propriété du département, seront utilisées pour développer le réseau de « voies vertes », mais il faudra être patient !!
Puis on monte (n’exagérons pas, 30 ou 40 mètres !!) jusqu’à St Nazaire des Gardies avec son château, en fait une belle et très grande demeure. |
Après être passé devant la Mairie, nous redescendons dans la plaine, toujours entre champs et vignes pour retourner à Logrian. Encore un ruisseau à franchir et nous étions de retour à 5H moins 20.
Mardi 16 novembre la marche, programmée sur la journée, se déroulait à Sussargues, dans l’Hérault,entre Beaulieu et Castries.
Nous n’étions que 7 au départ, à 10H. Le soleil était au rendez-vous. Une marche qui a bénéficié d’un temps idéal, inespéré pour cette mi-novembre.
Puis on se retourne, en direction de Sussargues, sous les pins, pour nous diriger vers Fondespierre, site avec un espace « pique nique », un centre de formation et diverse possibilités d’activités. C’est évidemment là que nous nous sommes installés pour le casse-croûte de midi. Ensuite on repart vers Sussargues et l’on passe d’abord dans les carrières de Font d’Armand, lesquelles sont utilisées, en période estivale, pour l’organisation de spectacles et concerts.
Ensuite on fait une boucle pour aller jusqu’aux anciennes carrières de Beaulieu. Une partie encore en exploitation ce situe un peu plus au nord du site. Enfin, retour à Sussargues où nous étions rendu un peu avant 16H, après une marche intéressante.
Mardi 30 novembre la marche se déroulait à Cendras, en partant du hameau de Malataverne.
Nous étions 14 au départ, à 13H45, comme prévu. Beau temps, certes un peu frais en cette fin novembre, mais avec un peu d’exercice c’était bien.
Après avoir traversé le ruisseau de Rieusset (à sec), on s’engage sur la petite route qui conduit à Soustelle. Arrivés au niveau de la Serre de Lyouse, on prend le chemin à gauche qui monte, au milieu des pins, jusqu’à Arbousse, où est installée la Mairie de Soustelle. Quelques arrêts furent nécessaires pour gravir une pente douce et régulière, mais tout de même assez longue. Arrivés sur la place de la Mairie, joli point de vue en direction d’Alès. Puis on redescend par la route avec un petit passage sur un chemin forestier (à gauche au niveau du Mas Roux). De retour sur la route de l’aller, le Rieusset étant à sec, on l’emprunte pour revenir à Malataverne, en évitant la route. Marche agréable avec un temps propice.
Mardi 7 décembre la marche se déroulait à Allègre-Les Fumades, en partant du hameau de Arlende, certains écrivent Arlinde (?). On démarrait du parking de la ferme piscicole (La Fontaine d’Arlinde, source importante qui alimente les élevages de truites); j’avais obtenu l’autorisation d’utiliser leur parking privé pour nos quelques voitures, le temps d’une petite rando.
Nous étions 11 au départ, à 13H45, comme prévu. Temps bien gris, mais pas de pluie ni de vent, température correcte, somme toute de bonnes conditions pour marcher.
Après avoir visité l’ancien lavoir au bord du ruisseau de l’Arlinde, un ancien moulin qui enjambais le ruisseau et la petite chapelle située dans l’enceinte du cimetière, nous sommes sortis du hameau et pris la direction du « Camp Long » sur un sentier qui monte régulièrement et nous permet de voir au loin le Mont Aigoual tout enneigé, malgré une visibilité pas bien terrible ! Après avoir cheminé dans la garrigue, entre sentiers et DFCI, nous attaquons la descente dans une large piste très caillouteuse et en assez forte pente; ceux qui ont des bâtons de marche les apprécient. On traverse le « Valat de Séguissous » (à sec), celui-la même qui sculpte les rochers des petites et des grandes Aiguières, un peu plus loin en amont. On débouche alors dans le hameau de Cal, lieux-dit « Le Cammas » (commune de Navacelles). Le retour se fait dans la plaine : on retraversera le Séguissous et son lit de cailloux roulés, puis on longe l’Alauzène (lui avec de l’eau), on longe l’établissement thermal des Fumades puis retour aux sources d’Arlinde. A la fin de la marche, certains ont pu aller faire un tour à la pisciculture.
Mardi 21 décembre, 1er jour de l’hiver et dernière marche de l’année 2021, nous étions 8 au départ, à Lavol-Haut, hameau de Boucoiran, à 13H30 pour une marche super « cool » dans la plaine du gardon.
Il était à craindre un temps maussade et très nuageux annoncé par Météo-France, mais il en a été autrement et on a eu assez de soleil entre de légers nuages.
Par contre, au niveau tracé du parcours, il y a eu quelques problèmes, et le guide vous prie de bien vouloir l’excuser de ne pas avoir suffisamment préparé la marche par une reconnaissance récente : c’était pratiquement la même qu’il y a 4 ans (jour pour jour : le 21/12/2017, marche alors conduite par Marc et Marie-Alice Giraud). Mais voilà, 4 ans, ça fait un peu long et la mémoire n’est pas suffisamment fiable. Comble d’ennuis, le GPS de marche sur lequel on s’appuie et sur lequel la trace prévue est enregistrée, le GPS, donc, n’a pas voulu démarrer au départ de la marche (il y a des jours où la mécanique n’en fait qu’à sa tête !!). Le GPS a bien voulu démarrer un peu plus tard, mais nous étions déjà hors circuit prévu. Ce qui devait arriver arriva et le guide a fait une petite erreur de parcours (fanion rouge sur la carte ci-jointe) et nous sommes partis sur la mauvaise rive du canal (canal de Boucoiran qui capte de l’eau du gardon au niveau du pont de Ners et qui sert à irriguer les jardins de Boucoiran); ensuite, pas moyen de retraverser ce canal, trop d’eau et berges assez abruptes, on a bien essayé de retrouver un chemin plus au nord, en bordure du gardon, dont une partie apparaissait sur la carte IGN, mais, là aussi, malchance : l’extrait de carte entre nos mains n’était pas assez grand (il manquait une centaine de mètre au nord pour bien interprèter) : on a tourné en rond sans trouver l’issue et l’on a rapidement décidé de faire demis-tour : Tracé vert fonçé, le réalisé, tracé rose-violet, le tracé initial prévu. Sur la photo ci-dessus, le groupe à la recherche du bon passage !! |
Une fois de retour au point de croisement des 2 boucles, plus de problème : d’une part, on est allez voir le chemin que l’on aurait dû prendre (à peine 20m plus loin, après avoir franchit le canal sur un pont !!). Puis on a fait la deuxième boucle pour aller au bord du Gardon, voir le « Rocher de Vidal » qui barre un peu la rivière. et retour à Lavol à travers champs et vignes. A l’arrivée petite collation pour nous remettre de nos émotions. Moralité, 1,2 Km de plus que prévu mais pas vraiment trop de soucis !
Nous étions 10 au départ, après le regroupement à la sortie d’Alès. Nous étions 12 inscrits mais le temps incertain en avait dissuadé 2 qui nous avaient prévenu de leur désistement.
Effectivement, le temps n’était pas engageant et même bruineux lors du regroupement mais nous avons persisté et nous avons eu de la chance : plus de bruine en arrivant à Générargues, ni tout au long du parcours. Il y a même eu des éclaircies, mais pas de risque de « coup de soleil » !!
Marche agréable, certes un peu incommode au début, une portion sur la route qui conduit à Mialet, mais on s’engage ensuite sur des chemins tranquilles, … mais qui montent un peu.
Puis on redescend avant de remonter de plus belle ! Mais on s’arrête de temps en temps pour reprendre son souflfe.
Il est à noter toutefois que, suite à une reconnaissance préalable, le circuit initialement prévu a été modifié à 2 reprises pour ne pas allonger la distance et diminuer un peu le dénivelé cumulé.
Quand c’est possible on épargne un peu nos marcheurs !!
Et donc, tout le monde est rentré à bon port et a pu profiter de la petite collation amenée par Francis.
La suite, …, la semaine prochaine.
Mardi 11 janvier beaucoup de marcheurs au départ à Rochegude : nous étions 17 avec certes les habitués mais aussi 2 nouvelles recrues.
Beaucoup de vent ce jour là et également grand soleil, température fraîche digne d’un mois de janvier. Heureusement, pour la première partie du parcours dans la plaine, nous étions « vent de dos », ce qui fut moins gênant. Arrivé au niveau d’Aubarine, un hameau de Rochegude, à la limite de la commune voisine de Rivières, on commence à monter dans les colinnes, un peu plus à l’abri du vent du nord. A partir de là on va monter régulièrement, avec quelques « faux-plats » assez brefs, jusqu’à la cote 310m (partis de la cote 115, ça fait 200m de montée, la quasi totalité de la marche, le reste sera « sans broutille »).
Nous ne somme pas allés jusqu’au menhir du Tonnerre, 600m de distance et 30m d’ascension en plus. Vous pouvez localiser le menhir sur la carte en tête de l’article. Un allé-retour : +1,2 Km ou, suivant les tracés bleus clair sur la carte, pas de ralonge en Km, mais des dénivelés importants : descente de 75m et remontée de 60m; pas de tout ça et on continue direct vers la grotte des Camisards.
Et donc on redescend vers la grotte, puis retour à Rochegude, et on termine par une traversée du village, très bien restauré, qui doit intégrer un assez grand nombre de résidences secondaires !! |
Mardi 18, nous étions 18 marcheurs au départ de Cruviers, direction Lascours. Après avoir longé la distillerie « Grap-Sud », on monte pour avoir une vue sur le Gardon et les bassins en dessous de la distillerie, en bordure du Gardon. Quelle est l’utilité de ces bassins ? On s’interroge, mais personne n’a la réponse : utilisation pour refroidissement de certains équipements ? bassins de décantation ? Nous n’auront pas la réponse.
On se dirige ensuite vers le hameau de Lascours et on y monte par la Rue de la Rampe, laquelle porte bien son nom ! Arrivés en haut on souffle un peu sur la place, au centre du village, avant de repartir en direction de Ners. On emprunte le chemin de la Capitelle, mais nous n’irons pas jusqu’à elle. Nous y étions allé lors des marches les 18 et 21 mai 2021, au départ de Ners. Nous étions alors retournés sur Ners en passant au Mas Tufany. Aujourd’hui, à l’inverse, on oblique nord-est en direction de Martignargues, le moulin de Portal sur la Droude, plus connu sous le nom de « Moulin Paradis », producteur d’huile d’olive. On suivra la Droude, rive droite, la traverserons sur la RD 209, puis, toujours plein sud sur le Plan de la Lèque, on la retraversera sur un pont submersible, à la Rouvièrette, avant de rentrer à Cruviers.
Mardi 25 janvier à 13h50, 16 marcheurs courageux pour monter sur la « Sauque Ronde ».
On commence par aller jusqu’au « Pont des Camisards », pour le voir au soleil, car en fin d’après-midi, l’hiver, il est à l’ombre de la montagne de l’ouest, Mialet étant au fond de la vallée du Gardon (qui porte son nom), bien entouré de montagnes. Ensuite on part sur celle située à l’est. On traverse le village, particulièrement calme, et on attaque la montée : quelques passages bien pentus suivis de « faux-plats » moins difficiles et de temps de repos pour reprendre son souffle, laisser le rythme du cœur ralentir. On en profite pour admirer les vues sur la vallée et les montagnes cévenoles.
On arrivera finalement au passage dans la vallée sur l’autre versant de la montagne : vallée du ruisseau de Roquefeuil. Nous montions dans la vallée du ruisseau des Prades. Tous ces petits cours d’eau se jettent dans le Gardon de Mialet.
La redescente vers Mialet , dans les bois au début, sur le versant de « l’Aire Crémade », puis le long de la « Sauque Ronde » est assez facile, chemin régulier ou dalles calcaires en pente douce. Sur la fin, la pente s’accentue et de gros cailloux ne nous facilite pas la descente. En prenant son temps et beaucoup de précautions on arrive à rentrer au village et à terminer cette marche, assez éprouvante aux dires de la majorité !
La semaine prochaine on fera moins compliqué, promis !
Ce 1er février 2022 nous étions 13 au départ, à 13H40, vers « Campeyrigoux. Au départ, une petite route qui longe le cours d’eau « L’Amous ». Ce cours d’eau, qui ira se jetter dans le Gardon, présente une eau limpide à ravir. Ce ne sera plus le cas, un peu plus bas en aval, lorsqu’il aura reçu les eaux polluées qui descendent des anciennes mines de Carnoulès (ruisseau du Reygous).
Plus loin, plus de route bien plate (fin de l’échauffement !) mais un chemin large et en pente douce. Un peu plus loin, on quitte le chemin balisé et le cours de l’Amous pour prendre un raccourci qui longe des ruisseaux (qui se jettent dans l’Amous), mais qui sont presque « à sec », et qui nous permettent donc de passer par là : raccourci de 1Km et 80m de dénivelé en moins que par le tracé balisé.
On retombe plus loin sur ledit chemin balisé et l’on finit la montée dans le bois de Malabouisse. En arrivant à la croisée des chemins on choisi la descente vers Carnoulès par le large et facile DFCI. Un peu avant Carnoulès, un ancien « Four à chaux », puis la traversée du hameau et le retour à travers le site des anciennes mines à ciel ouvert. On y voit les essais de réimplantation de végétaux sur ce site (études de l’INRA).
Retour au parking à 17h05 : on a bien marché; il est vrai que c’était moins difficile que la semaine dernière !!
Le 8 février 2022 nous étions 13 au départ, à 13H50, au Rouret : on y trouve le centre sportif de St Christol les Alès, ainsi qu’un joli parc aménagé pour les enfants et les familles.
Au départ, on longe les stades et on descend dans la plaine du Gardon (Gardon d’Alès cette semaine).
On le longera sur près de 2 Km, le sentier se tortillant entre les arbres. Arrivés au droit de Montèze (hameau perché sur une petite colline) on laisse le sentier, nous n’irons pas jusqu’aux Tavernes, ce sera pour une prochaine fois.
On retraverse la plaine et on monte jusqu’au groupe de maisons, joliments restaurées.
Après avoir traversé le village, on prend la direction du Rouret mais on quitte rapidement la route pour redescendre dans la plaine et revenir par un large chemin, bien plat et bien tranquille.
On rejoint donc le bas du parc du Rouret où nous étions passés à l’allé, mais on fait un petit détour pour aller jusqu’à la stèle du « Mas Cauvy », commémoration d’une victoire des Camisards sur les Dragons du Roi Louis XIV.
A l’orée du parc se situe la stèle érigée en 1985, sur le lieu de la célèbre bataille du Mas Cauvy, qui se déroula le 24 décembre 1702, quand Jean Cavalier, à la tête d’une troupe de Camisards, des paysans pour la plupart, venus écouter les prêches, tendit une embuscade aux troupes royales.
Les dépouilles des tués y sont enterrées.
Ce lieu historique est hautement symbolique pour les protestants, car ce fut la première grande victoire remportée par les Camisards.
Mardi 22 février 2022 nous étions 20 au départ, à 13H50, à St Hilaire de Brethmas, parking du Temple; nous avions atteint le cota autorisé ! Contrôle des températures, RAS, on pouvais y aller.
On se dirige en premier lieu vers la plaine de l’Avène que l’on longera jusqu’à « La Jasse de Bernard » (hameau qui jouxte Alès, mais qui fait partie de la commune de St Hilaire).
Après le cimetière, on arrive au bord de L’Avène, au niveau de Tribies, et on la suit jusqu’au « Moulin du Juge », avant d’arriver à La Jasse.
On traverse La Jasse, pour prendre la direction de Méjannes les Alès sur les petites route dans le Devès.
On arrive aux portes de Méjannes, derrière le « Parc des Expos », avant de reprendre la direction de St Hilaire, que l’on atteint après moins de 3H de marche, ce qui représente une bonne moyenne pour un peu plus de 10 Km, mais le dénivelé (120 m cumulés) était assez « cool ».
Mardi 1er mars 2022 nous étions 15 au départ, à 13H50, à La Bégude (Commune d’Allègre les Fumades).
On s’engage dans le vallon de l’Argensol que l’on remonte en longeant le ruisseau du même nom. Après avoir franchit le « défilé » toujours du même nom, on s’étonne encore que ce petit ruisseau à l’eau limpide ait pu tailler la roche sur plus de 30m et passer par là pour rejoindre l’Auzon.
On poursuit ensuite sur le large chemin qui remonte dans le large vallon, puis on s’oriente sur la droite, comme pour monter vers Suzon (Hameau du Bouquet, colline St Peyre, le Camp Romain).
Arrivés à une sorte de col, après Frayssemale, nous décidons de rallonger un peu le tracé initialement prévu pour faire un aller-retour vers les « Petites Aiguières ».
Du moins allons nous voir si on peut y arriver, suivant la quantité d’eau dans le ruisseau du « Séguissous ». On emprunte le sentier qui débouche sur le cours d’eau, lui aussi avec une eau très limpide qui se faufile dans les rochers aux arrondis bien lissés par l’érosion.
Le niveau de l’eau nous permet de tenter d’aller jusqu’au site des Petites Aiguières, en longeant les bords ou en marchant sur les rochers émergés. Sur notre groupe de 15, 8 s’arrêterons en chemin, au soleil et attendrons les 7 qui iront jusqu’aux bout pour admirer la marmite de géants appelée « Petites Aiguières ».
Sur le retour, dans le groupe des 7, on a eu deux « petits baigneurs » qui sont allés vérifier que l’eau était trop fraîche pour envisager la baignade !!
Après avoir rejoint les autres, le groupe complet s’en est retourné et à pris la direction d’Arlende (autre hameau d’Allègre les Fumades).
Pendant le trajet, en direction Nord Est, magnifiques vues sur le Château d’Allègre, la Chapelle St Saturnin et les Cévennes.
En chemin nous avons aussi rencontré un autre groupe : des chenilles processionnaires …
Après avoir cheminé sur le plateau, nous redescendons sur Arlende, on passe devant le moulin à vent reconstitué (il n’a jamais fonctionné, au dire d’un habitant du lieu … un « fake » !!, mais très bien restauré, on dirait qu’il va tourner).
Puis on redescend sur La Bégude et retour au parking : total 9,4 Km, soit 2,6 Km supplémentaires, mais ça valait le détour.
Mardi 15 mars 2022 nous étions 14 au départ, à 13H50, à St Chaptes, sur la place du « Champ de Foire ».
On commence par un petit tour dans le village : le temple, puis l’église, le château et on sort, direction plein Est, sur les GR6-GR700. on passe devant le Mas du Luc, lieu où travaille le sculpteur Jean-Pierre Thein Arrivés au jalon « Parpaudes », on tourne à gauche, plein Nord, direction « Les Rochers sculptés« .
On y arrive et on découvre de surprenantes sculptures sur ces rochers calcaires qui émergent dans la plaine; à une époque il y avait une carrière.
On prend ensuite la direction de Ste Eulalie, petit village rattaché à Garrigues (en 1814) pour former la commune de « Garrigues-Ste Eulalie ». On apprendra, place des Retraités, sur des panneaux d’information que le village a été édifié sur des ruines wisigothes avec aussi des vestiges des temps préhistoriques et romains. On ira aussi faire le tour de l’église romane qui semble avoir subie d’importants dommages : on pense qu’il pourrait s’agir d’un effondrement partiel et d’une sauvegarde moins élevée qui confère un aspect très particulier à l’édifice, mais en fait nous n’avons trouvé aucune information pour confirmer cette hypothèse.
Puis c’est le retour vers St Chaptes que nous atteignons vers 16h30, à l’heure de sortie des écoles. Au total 9,3 Km sur un circuit pratiquement plat.
Mardi 22 mars 2022 nous étions 14 au départ, à 13H45, à Florian (Commune Logrian-Florian), aux abords du domaine de « La Rouvière », un nom qui reviendra tout au long de cette marche.
Tout d’abord on suit la petite route pour aller jusqu’au château de La Rouvière, puis on se dirige vers la retenue d’eau du barrage de La Rouvière sur le cours d’eau « Le Crieulon », barrage que nous irons voir un peu plus loin.
Après avoir traversé le petit lac sur « le pontet », ouvrage en béton qui permet de passer à « pied sec », du moins lorsqu’il (Le Crieulon) n’est pas en crue (le barrage a été mis en service en 1970 pour limiter l’impact des crues lors des « épisodes cévenols), on fait un petit tour au bord du lac, histoire d’aller à la rencontre des pêcheurs de carpes : la pêche vient d’ouvrir.
On s’engage ensuite dans la montagne, direction Bragassargues (mais nous n’irons pas jusqu’au village), et après avoir longé la route assez fréquenté entre St Théodorit et Quissac, on peut aller voir le barrage de plus près.
De retour du barrage, après avoir traversé le Crieulon sur le pont routier, on s’engage dans la colline à l’ouest du barrage afin de rejoindre la chapelle de Pise. A un embranchement, le guide n’était pas devant, occupé à faire des photos, … Le temps qu’il se rende compte que les « locomotives » s’étaient engagées à droite au lieu de la gauche, et on était parti pour un petit « plus ». Pas bien grave, mais un bon kilomètre en plus et en passe par le sommet, soit 60m de plus, mais tout le monde y est arrivé et la ralonge a même permis, du moins au groupe de tête, d’appercevoir des marcassins.
Arrivés à la chapelle de Pise, nous sommes allés la voir de plus près, afin d’admirer cette construction : bâtie sur l’emplacement d’une berderie en ruine, cette chapelle protestante a été édifiée pour célébrer le 400 ème anniversaire de l’édit de Nante. Elle a été inaugurée le 24 décembre 1998.
Puis retour au parking, à proximité de Florian. Pour compenser la ralonge de la marche, nous avons pris les voitures pour passer au château de Florian, voir le caveau et « tater » de ses bons vins.
Mardi 5 avril 2022 nous étions 15 pour cette marche à St Jean du Gard. Après un regroupement à St Christol les Alès, on arrive aux abords de la gare de St Jean, et là surprise : sur l’allée de platanes, habituellement vide ou presque en cette saison, toutes les places de parking sont réservées pour le cirque qui vient de s’installer en face, dans le parc de l’Espace Paulhan. Bon, on monte donc sur la grande place devant la gare, et là, 2ème surprise : la place est envahie par les équipes de course venues disputer la course de côte du col St Pierre qui aura lieu dimanche. On trouve néanmoins de quoi stationner nos 4 voitures !!
Après ces petites émotions on va voir de plus près ces bolides en préparation, puis on commence notre marche, sur la petite route de Lastrau que l’on quitte assez rapidement pour monter directement à Lastrau sur un sentier balisé, mais ça monte plus raide que par la route !! C’est en fait la seule difficulté du circuit : dénivelé positif de 77 m sur 470 m de long, soit 16% de pente, mais on a su la prendre au bon rythme et faire les arrêts nécessaires. La suite sera sur des pentes plus raisonnables.
Après Lastrau on continue sur la route jusqu’au col de l’Espeutiéra. On s’engage ensuite dans un chemin qui va nous conduire vers le mont St Roman.
Nous n’irons pas jusqu’au sommet, mais jusqu’à un promontoire rocheux d’où l’on a une belle vue sur St Jean dans sa vallée.
Ensuite on redescend, on passe devant un chenil avec des chiens de chasse qui manifestent lors de notre passage, mais il n’y a probablement personne pour les entendre au milieu de la montagne.
On redescend donc en direction du Mas de Monies, que l’on laisse sur notre droite, pour prendre la direction des Fournels (hameau de St Jean) où l’on va aller visiter la Brasserie Borgne (visite préparée par le guide). Le brasseur nous accueille avec, pour commencer, une dégustation de sa bière artisanale, puis viennent les explications sur la fabrication et toutes les étapes à suivre pour produire ces bières, dans la passion qu’il met à confectionner, je dirais même l’amour, pour obtenir le nec plus ultra. Avant de partir, nous avons été nombreux à commander quelques bouteilles que nous passerons prendre en passant en voiture sur la route du retour. Le retour à St Jean se fait sur la petite route, bien plate qui longe le Gardon. Nous revenons au parking à 17H50, soit après 3H50, mais nous sommes resté 1H à la brasserie. |
Mardi 12 avril 2022 nous étions 12 pour cette marche entre Soustelle et Lamelouze. Après un regroupement à La Blaquière (Commune de Cendras), on roule jusqu’au col de la « Croix des Vents » et on prend la direction de Lamelouze, sur la RD32.
On stationnera sur un délaissé créé par la rectification d’un virage.
On commence notre marche et on va rejoindre le GRP « Tour de la vallée du Galaizon ». Le sentier est en majorité constitué de schistes métamorphiques et il procure de nombreux points de vue sur les Cévennes.
On arrive ensuite au dolmen du « Ron Traoucat » (le roc troué). Le roc aurait été creusé de la main de l’homme (?).
On poursuit le GRP qui rejoint le GR44B pour arriver à la « nécropole de Peyraube », un ensemble de 7 monuments funéraires, probablement ré-utilisés par plusieurs populations successives, entre 2000 et 600 ans avant J.C.
On continue sur le GRP en direction de Peyraube, mais on le quitte pour prendre un sentier qui va rejoindre le chemin qui descend à Valmalle. On remonte ensuite vers la route pour revenir à notre point de départ.
Nous sommes de retour à 16H45, soit un peu moins de 3H de marche, mais nous avons fait pas mal de haltes pour regarder les nombreuses nécropoles et profiter des explications figurant sur les panneaux d’information.
Mardi 19 avril 2022, 13h15, nous étions 10 au 2ème parking de la Mine Témoin d’Alès, pour une marche dans les collines, à l’ouest d’Alès.
Direction la forêt domaniale du Rouvergue par le chemin de Trepeloup. Quittant l’asphalte on prendra un sentier en direction du château de Sauvage, on franchira une faille géologique sur un panneau de bois mis là à cet effet; certe ce n’est pas la faille de Thingvellir en Islande, mais assez large et profonde tout de même !
On rejoint le chemin qui passe au château, nous n’irons pas jusqu’au château, mais on tourne à droite pour prendre le GR70/GR44D à la croix de Sauvage et revenir sur Trepeloup.
De là on part vers « Terres Rouges » : c’est la couleur du sol, la cause, l’oxyde de fer. Autre preuve de la présence de minerais de fer : les nombreux effondrements des galeries des anciennes mines de fer, peu profondes, à l’inverse du charbon qu’il fallait aller chercher beaucoup plus bas.
On arrive enfin au crassier, dont on fera le tour.
Le crassier a subi un incendie en juillet 2004 : il était alors couvert de pins. L’incendie a rapidement été maitrisé grâce à des bombardiers d’eau, mais le feu s’est propagé à l’intérieur du crassier par l’intermédiaire des racines qui ont allumé un foyer interne.
Ci après un article de « Libération » paru à l’époque :
Alès, envoyé spécial.
Presque quarante ans après la fermeture de sa dernière mine, Alès pensait ne plus jamais avoir à se pencher sur son passé charbonneux. Il n’en est rien. Depuis plusieurs semaines, la ville est en émoi après l’apparition d’un phénomène particulièrement spectaculaire : l’entrée en combustion de deux terrils – l’un immense, l’autre plus allongé – situés en bordure de l’agglomération et devenus, au fil des décennies, partie intégrante du paysage de la commune gardoise.
Un paysage certes un peu triste pour le visiteur de passage, mais chargé d’émotion pour chacun des 100 000 habitants, dont tous, ou presque, sont reliés à la mine par au moins un parent. «Tout a commencé par un simple feu de forêt, le 26 juillet, enflammant plusieurs sapins qui avaient poussé sur les terrils, raconte Max Roustan, le député-maire UMP d’Alès. Le feu a vite été maîtrisé, et nous ne nous sommes pas inquiétés outre mesure. Trois semaines plus tard, le directeur du centre équestre de Rochebelle (situé au pied du crassier allongé, ndlr) m’appelle pour m’expliquer que les pins du terril en face du centre tombent comme des mouches.»
Jusqu’à 900 degrés.
Que se passait-il ? «Un phénomène impressionnant mais en vérité très classique», répond Yves Plaquette, un des rares spécialistes français de la combustion des anciens terrils. Comme tous les crassiers un peu vieux, le terril de Rochebelle est encore riche en charbon. «Lors de sa formation, fin XIXe début XXe, on triait le minerai à la main, sans soucis de rendement maximal. Ajoutez à cela une texture granuleuse qui laisse passer de l’air, vous obtenez une véritable chaudière. Les racines enflammées des sapins ont joué le rôle de l’allumette, et c’était parti pour une jolie combustion !»
Cinq foyers se sont ainsi allumés, se propageant en direction du coeur de la colline, là où la densité en carbone est la plus forte. En quelques jours, des chaleurs allant jusqu’à 900 degrés ont été atteintes, les températures les plus chaudes se trouvant à dix, vingt ou trente mètres en profondeur. Sans que, dans les premières semaines, un oeil non averti puisse se rendre compte d’une anomalie. Fait assez rare cependant : le second terril, dit «de Ricateau», constitué entre 1945 et 1965 – à l’époque de la mécanisation du tri, et donc constitué de déchets moins riches en charbon et beaucoup plus fins – , a lui aussi commencé à se consumer.
Au bout de trois semaines, lorsque l’alerte fut enfin donnée, un vent de panique souffla sur la ville. Quels dangers pour la population représentent les émanations de gaz (principalement du monoxyde de carbone, rapidement mortel pour l’homme) issues de ces deux fourneaux géants ? Le 17 août, les autorités font finalement appel à Yves Paquette, qui interrompt ses vacances pour venir sur place. Son verdict est sans appel : oui, le terril de Rochebelle, très proche des habitations, constitue un double danger pour les Alésiens. A la moindre pluie, l’eau entrant en contact avec du carbone brûlant peut former de l’hydrogène (H2), qui est un explosif puissant. Et dès que viendront les premiers froids, une «inversion thermique» peut se produire, qui force le monoxyde de carbone à stagner au-dessus de la ville.
Le préfet accepte alors la proposition de Paquette de «défourner» Rochebelle : jusqu’à fin décembre, cinq énormes caterpillars vont découper par tranches horizontales le terril, en commençant par le haut, jusqu’à atteindre les foyers de combustion. Un travail de déplacement de montagnes impressionnant pour les habitants, mais sans grand danger. Sauf celui peut-être de trop fortes poussières dans l’air. Les autorités sanitaires ont alors ordonné le transfert d’une clinique avoisinante, ce qui a rajouté aux inquiétudes de la population.
Solution inacceptable.
Quant au terril de Ricateau, plus éloigné de la ville, et complètement inaccessible aux bulldozers, «on ne peut rien faire, sinon le laisser se consumer», explique Yves Paquette. Une solution jugée «inacceptable» par Max Roustan, qui a déjà promis à ses électeurs de «se battre jusqu’au bout» afin que l’Etat finance aussi le défournement du Ricateau. Les Alésiens risquent d’être déçus. Pour Gilles-Henry Garault, sous-préfet d’Alès, «il n’est pas question que l’Etat mette un euro dans le défournement du second terril», lorsque les travaux entrepris sur le premier, trois fois moins volumineux, vont déjà coûter un million d’euros.
Puis on retourne à la mine témoin où il était prévu de participer à une visite guidée. Nous étions à l’heure, un peu en avance même, pour cette visite qui commençait par un petit film à 16h15, puis visite sur place, casqués, entre 16h30 et 18h00.
Cette ancienne mine a servi, à partir de 1945, de « mine école » pour les apprentis mineurs qui complétaient leur formation avant de descendre « au fond ».
Mardi 26 avril 2022 : les marches ont désormais lieu le matin, l’après midi le soleil donne pas mal, surtout si l’on ne trouve pas des parcours toujours à l’ombre.
Donc début de la marche à 9H 1/4 du parking du château de Portes. Pour ceux qui habitent sur Alès et sa zone sud nous avions un regroupement sur le parking de l’Hôpital.
Nous étions 11 au départ à Portes pour une marche d’un peu plus de 9 Km et 200 m de dénivelé cumulés. Le retour était prévu vers midi 1/4 pour pique-niquer : c’était prévu pour éviter de partir trop tôt le matin !
Nous sommes donc allés jusqu’à la ferme « Villeneuve » en empruntant le GR44B.
Sur le chemin du retour, au col des « Quatres chemins », nous avons quitté le GR pour monter jusqu’à la ferme des « Masses » où un sculpteur a disposé quelques œuvres assez singulières.
Retour au château un peu avant midi vingt, comme prévu, à quelques minutes près.
Pique-nique sur le parking aménagé avant de nous séparer, dans l’attente de la prochaine marche.
Mardi 10 mai 2022, nous étions 14, à 9h, pour cette marche à Bagard.
Pas de regroupement : rendez-vous direct sur le parking, derrière la poste.
Départ dans le village et ses lotissements, on attaque rapidement la grimpette sur le « Serre de la Cabane ».
Lors de la montée on a une belle vue sur la plaine au sud et le chantier du site de loisir « Forest Parc » (Accrobranche) qui deviendra « Aqua Forest » avec la création d’un important point d’eau, nouveau futur site de loisirs.
On redescend un peu et on arrive au chemin de Bagard à Blatiès au jalon « Cabrieroux », juste après l’imposante carrière de Bagard. On ne prend pas le chemin goudronné de Blateiras, mais on prend la direction de « Peyregous ».
200 m plus loin on tombe sur un sculpteur sur bois qui travaille à la tronçonneuse. Il a bien fait un sujet « à la main », mais avec la tronçonneuse ça avance plus vite !! Il réalise aussi des ruches à l’ancienne dans des troncs et y aménage une partie vitrée pour voir travailler les abeilles.
Après avoir discuté un moment avec lui, on reprend notre chemin vers le « Serre d’Avène » et on va tourner en vue de Monteilargues : Domaine du « Serre d’Avène ».
Puis on reprend le chemin de Montelviel, ça remonte un peu avant de redescendre sur Bagard
Retour au parking à 11h20.
Mardi 17 mai 2022, nous étions 11, à 9h1/4, pour cette marche à Ste Anastasie.
On s’était regroupés à Ales pour cette marche un peu éloignée et, en chemin, en arrivant à La Calmette, petite engoisse :
le ciel était devenu gris foncé, comme avant l’orage, une « entrée maritime » ??
Heureusement, en arrivant à proximité du pont St Nicolas, lieu du début de la marche, le ciel était à nouveau complétement dégagé.
On part direction Vic, un des trois hameaux qui composent la commune de Ste Anastasie (avec Russan et Aubarne).A noter que Campagnac fait également patie de la même commune. Dans la plaine le chemin ombragé longe les vignes.
Puis on monte dans Vic et ses vieilles bâtisses, on passe devant l’église et on prend la direction de Aubarne/Russan. Nous étions sur le GR63 et l’on est maintenant sur le GR6.
Arrivés au croisement des chemins, celui qui mène à Aubarne (GR6) et celui pour Russan (GR700) : on tourne à gauche sur le GR700.
Petite montée sur le plateau et fin du parcours ombragé. Nous irons jusqu’au surplomb des gorges du Gardon, site d’escalade avec ses falaises verticales :
Il y a près de 50 millions d’années, un gardon primitif coulait dans la plaine après l’assèchement d’une mer tropicale qui était là il y a près de 100 millions d’années. Il y a 6 millions d’années, la poussée tectonique soulève les Alpes et les Cévennes. Au fur et à mesure que le sol se relève, le gardon creuse dans le calcaire urgonien, créant les gorges actuelles.
On abandonne le GR700 qui file vers Russan pour suivre un PR (balisage jaune) qui va nous conduire au point de vue sur les gorges (Le Castellas).
On fera ensuite demi-tour pour revenir vers le pont St Nicolas de Campagnac, en restant sur le plateau, au milieu des cistes (des rose principalement, et quelques blanches), mais très souvent au soleil.
Nous trouverons un petit passage à l’ombre pour le pique-nique, sur le coup de midi. Après avoir repris des forces, on arrive en vue du Gardon, puis du pont St Nicolas. Le sol calcaire présente par endroit de nombreux trous : le calcaire a été « dissou » par l’acidité de l’eau d’infiltration, provoquant cette sorte de « gruyère » minéral.
On attaque alors la descente un peu raide ( 80m en moins de 700m) pour arriver au niveau du pont et retrouver les voitures :
Fin de la marche à 13h45.
Mardi 24 mai 2022, nous étions 11, à 9h05, pour cette marche à St Ambroix.
En arrivant à St Ambroix, gros problème de stationnement : le mardi matin c’est jour de marché !! Cette marche nous l’avions faite l’an passé, un mardi, mais l’après-midi.
Donc compte tenu des difficultés de stationnement, nous nous sommes posés sur deux parking différents et nous nous sommes regroupés pour démarrer la marche. Mais, de ce fait, nous n’avons pas fait l’aller-retour prévu vers la tour Guisquet, aller-retour prévu en début de rando..
On attaque donc directement par la montée vers « Jumas », puis le « Petit Montèze », le « Grand Montèze » en direction du château de Montalet. Le château est situé sur la commune de Molière sur Cèze.
Après la bonne montée, un agréable sentier à l’ombre des arbres nous conduit au château (le but de cette marche). Après avoir regardé l’imposant édifice (ce qu’il en reste, objet de restauration par l’ « Association de sauvegarde du château de Montalet »), on repart dans les bois pour un retour à St Ambroix.
S’en-suit une assez grande descente : en arrivant en ville, le groupe ne se montre « pas très chaud » pour un aller-retour à la tour de Guisguet !! La majorité préfère faire un tour au marché.
Néanmoins, deux courageux monteront au « Dugas » : chapelle perchée sur le piton rocheux qui domine St Ambroix. En fait, des escaliers pour s’élever de 40 mètres environ et découvrir la chapelle et les étonnants points d’eau (source, citerne creusée dans le rocher …)
Redescendus du promontoire, tout le monde se retrouve au café de la Mairie pour une boisson rafraîchissante.
Retour aux 2 parkings à midi.
Mardi 31 mai 2022, nous étions 14, juste avant 9h1/4, pour cette marche au Pont d’Avène, commune de Rousson.
Rendez-vous était pris au parking du Préhistorama d’où partait la marche de ce jour. Déjà plusieurs cars qui amenaient des groupes scolaires pour la visite; nous en rencontrerons d’autres cet après-midi aux jardins ethnobotaniques.
Pas de visite du musée pour nous : départ marche, direction « La Font de Rouve », puis on poursuit sur le chemin pour aller franchir le gué sur l’Avène.
En chemin quelques gouttes de pluie qui sèchent avant même de nous avoir mouillés. Pas de quoi non plus remplir la rivière complétement à sec.
On poursuit rive droite et on va attaquer la montée vers Panissière. Arrivés au hameau on souffle 5 minutes et on pousuit le retour vers le Préhistorama : retour sur la petite route sans circulation, puis au hameau de « La Gardie », on quitte la route pour rentrer par le chemin de « Campredon », puis du « Lapparo ».
En passant à côté des jardins hetnobotaniques on rencontre Henri Blandina, un des fondateur passioné de ces jardins, avec qui on a rendez-vous en début d’après-midi pour la visite.
Henri Blandina était, lors de la création, président de l’Association « Arc Avène », association à l’origine de ces jardins ethnobotaniques.
Le temps d’aller au Préhistorama récupérer les voitures et se rendre sur le site, à 600m environ, où l’on va pique-niquer sur l’espace aménagé pour les visiteurs, à l’ombre de chênes verts.
Après la marche et le pique nique, visite guidée des « Jardins ethnobotaniques » de La Gardie
A 13H, après l’étape « restauration », nous attaquons la visite guidée et enrichie par les nombreuses et précises explications fournies par Henri.
De plus, de nombreux panneaux détaillent les différentes parties du site, ainsi que l’histoire qui s’y rattache :
Après deux heures passées à ces découvertes et plus d’un kilomètre de promenade, nous avons chaleureusement remercié notre guide et pris congé.
Mardi 7 juin 2022, nous étions 11, juste avant 9 h, pour cette marche à Lézan.
A peine 100 m de plat pour s’échauffer avant d’attaquer la première « grimpette » : 60 m pour aller voir Lézan d’en haut.
A noter que le guide vous a évité la fin de la côte assez raide avec un petit rallongement au milieu des genêts.
Donc une belle vue en surplomb du village, avant de redescendre dans les vignes; on passe devant la « Cabane » qui, de fait, n’est pas un simple abri agricole. Il en a certes la taille, mais avec génoises et dessus de porte cintré : assez joli à regarder.
Toujours à travers vignes, on se dirige vers Cardet (Est / Sud-Est) puis on prend plein Nord et on traverse le bois du « Devès », jusqu’à rejoindre le chemin de « Costelongue » (petite route goudronnée entre Lézan et le « Mas de l’Eglise » (Commune de Cardet).
On suit alors ce chemin en direction de Lézan, on est sur le GR6, et celui-ci tourne à gauche pour monter dans le bois de Costelongue, petite montée raide (mais moins de 30 m de dénivelé et ça redevient vite plat).
On restera sur le GR6 pour aller faire un tour dans le village de Lézan et découvrir son passé médiéval (anciennes fortifications, tour de l’horloge …) ainsi que l’histoire du temple, puis un arbre de « la liberté » replanté en 1989, pour le bicentenaire de la révolution, à l’endroit même où était planté celui d’origine. On découvrira aussi un puits gallo-romain, creusé dans la roche sur 18 m de profondeur : le puits de « l’Enclos ».
Retour au parking juste avant 11 h 1/2.
Mardi 21 juin 2022, 8h45, nous étions 11 pour cette dernière marche de la saison 2021-2022, à St Raby (commune d’Alès).
Direction le château de Sauvages, par le chemin du bois commun.
La montée jusqu’au château était assez ombragée et la température acceptable.
Juste avant d’arriver au château nous avons rencontré un joli troupeau de chêvres et moutons qui se régalaient des herbes et buissons bordant le chemin.
Au château, ils bifurquèrent à droite pour redescendre sur Cendras, alors que nous prenions à gauche, direction St Jean du Pin sur la large et plate DFCI.
Un peu moins d’ombre sur ce passage, mais quelques nuages en guise d’ombrelle et un léger vent pour la ventilation.
Ensuite on redescend dans les hauts de St Jean du Pin, quartier de « La Plaine »; arrivés au niveau du « Devès » on prend à gauche le PR balisé jaune et on redescend jusqu’à St Raby, dans la forêt du Rouvergue, et l’on passe devant le puits « St Germain » (ancienne mine 1867-1921) avec son chevalement typique : une tour maçonnée, carrée, 20 mètres de haut, ornée de briques.
Arrivée un peu après 11h 1/4, nous nous sommes souhaité un bel été et donnés rendez-vous en septembre pour la reprise.